vendredi 10 janvier 2025

L'Innocence d'Exister Cherche Avocat Désespérément

(La vérité est un bien public, donc un service public.)

(La vérité se répand, elle ne s'étouffe que dans la bouche du dictateur.)

Si maitre Badinter avait connu et compris le principe d'innocence d'exister, il aurait pu interpeler les députés de cette manière :

Mesdames, Messieurs les députés,

En cet instant solennel, je me tiens devant vous pour plaider une cause qui transcende l’abolition de la peine de mort elle-même : celle de l’abolition de toutes les peines qui infligent à un être humain une rétribution fondée sur la notion de responsabilité. Ce plaidoyer repose sur un principe fondamental, trop souvent ignoré, celui de l’innocence d’exister. Je viens démontrer que cette notion doit être le fondement de toute justice véritable.

L’humanité a parcouru un long chemin depuis qu’elle a aboli les pratiques les plus barbares, comme l’esclavage et la torture, mais elle continue de s’enfermer dans un paradigme qui repose sur une erreur fondamentale : celui de croire que l’homme est responsable de ses actes. Or, nous savons aujourd’hui, grâce aux progrès de la science et de la raison, que l’univers, dans sa structure même, est dépourvu de volonté. Il est régi par des lois naturelles, implacables et neutres. En tant que parties de cet univers, nous, êtres humains, ne faisons pas exception.

La notion de responsabilité, qui sous-tend notre système judiciaire, repose sur une fiction : celle de l’autonomie absolue de l’individu. Pourtant, tout dans notre existence – notre génétique, notre environnement, nos expériences – est le fruit de causes qui nous précèdent. Nul ne choisit de naître, nul ne choisit les conditions dans lesquelles il agit. En ce sens, chaque être humain est innocent dans son existence et dans ses actes. Cette vérité, si difficile à admettre, est pourtant incontournable.

Prenons un instant pour examiner la peine elle-même. Quelle en est la finalité ? Elle se présente comme une réponse aux actes répréhensibles, une tentative de justice visant à compenser une atteinte causée à la société ou à un individu. Mais cette réponse repose sur une logique qui confond causalité et culpabilité. La causalité – le fait que certains événements mènent à d’autres – est une réalité. La culpabilité, en revanche, suppose une intention et une liberté d’agir qui sont des illusions dans un univers déterminé. Lorsque nous appliquons une peine, nous faisons peser sur l’individu la charge d’une volonté qu’il ne possède pas.

Il ne s’agit pas ici de nier la nécessité de protéger la société contre certains comportements dangereux. Cette protection est essentielle. Mais elle doit se dégager de l’idée punitive. Nous devons évoluer vers une société qui soigne plutôt qu’elle ne châtie, qui prévient plutôt qu’elle ne condamne. La détention, si elle demeure, ne devrait être qu’une mesure de sécurité temporaire, accompagnée d’un véritable effort de réhabilitation et de compréhension des causes ayant mené à l’acte.

C’est ici que la notion d’innocence d’exister prend toute sa force. Chaque être humain, qu’il soit auteur ou victime, est le produit d’un enchaînement de circonstances qui échappent à son contrôle. En reconnaissant cette vérité, nous pouvons transformer la justice : d’une machine punitive, elle peut devenir une institution réparatrice et éclairée. Une justice qui ne cherche plus à réprimer, mais à comprendre ; qui ne s’acharne plus à punir, mais s’efforce de guérir les plaies sociales et personnelles.

Lorsque nous avons aboli la peine de mort, nous avons franchi un cap moral décisif. Nous avons déclaré que la vie humaine est inviolable, que nul n’a le droit de prendre celle d’un autre, même au nom de la justice. Mais si la vie est inviolable, alors pourquoi accepterions-nous que la liberté ou la dignité soient violées par des peines, fondées sur des prémisses erronées ? Pourquoi persister dans un système qui s’appuie sur des concepts de faute et de rétribution dépassés ?

Imaginez une société où la justice ne condamne plus, mais éduque. Une société où l’accent est mis sur la prévention des comportements antisociaux, grâce à l’éducation, au soutien psychologique et à l’accompagnement. Une société qui investit dans la compréhension des mécanismes humains plutôt que dans l’entretien de prisons surpeuplées. Cette société n’est pas une utopie inaccessible ; elle est à notre portée si nous avons le courage de repenser les fondements de notre justice.

Mesdames, Messieurs, l’heure est venue de faire un choix audacieux et éclairé. En reconnaissant l’innocence d’exister, nous pouvons construire une justice qui reflète les idéaux les plus élevés de l’humanité. Une justice qui ne tue pas, mais qui répare. Une justice qui ne punit pas, mais qui éveille. Une justice qui, loin de diviser, réunit dans un effort commun pour comprendre et prévenir.

Le chemin sera long, mais il est le seul qui soit digne de notre condition humaine. Je vous invite aujourd’hui à entamer cette marche avec courage et détermination. Ensemble, faisons de la justice une source d’espoir plutôt qu’un instrument de peur.

Je vous remercie.


Discours qui aurait pu être prononcé par l'émanation de Maitre Badinter. La société attend son Justicier.

« Croire c'est perdre la raison, que gagnent les humains à perdre ce qui les différencie des animaux ? »

Fin – E. Berlherm


Précision concernant la dichotomie « Aresponsabilité » Vs « Responsabilité »

(La vérité est un bien public, donc un service public.)

Je vous présente deux versions pour illustrer cette dichotomie.

Tout d'abord une version imagée, légèrement satirique :

D’un côté, nous avons l’univers, cette grande machine indifférente, où tout s’enchaîne avec une précision si glaciale qu’on pourrait presque y voir un clin d’œil cosmique. Dans cet univers, ni "responsabilité", ni "intention", ni "remords". Les étoiles explosent, les planètes dérivent, et les humains... eh bien, ils s’agitent. Mais qu’on se le dise : tout ça est "aresponsable". Rien ni personne n’a demandé à être là, et tout continue de fonctionner avec le charme robotique d’un pendule.

De l’autre côté, voilà l’humanité, cette espèce qui a eu la brillante idée d’inventer la "responsabilité". Une trouvaille, vraiment ! Elle a permis d’établir la culpabilité, de distribuer des punitions, et de concocter un système juridique si complexe qu’il donne des migraines aux avocats. Mais voilà le hic : si on suit cette logique, ceux à qui on impose l’existence sont, par définition, innocents. Oui, innocents, tout le temps, partout, et pour toujours. Je nomme cela "l’innocence d’exister". Un concept qui aurait de quoi renvoyer toute salle d’audience au chômage technique.

Et là, nous tombons sur le cas épineux de la procréation. Socialement parlant, c’est "la mère de tous les crimes". Après tout, c’est elle qui ouvre la porte aux souffrances, aux injustices, et aux factures d’électricité. On pourrait penser que ce n’est pas très éthique. Mais si l’on retourne à notre cher univers aresponsable, tout cela n’est rien de plus qu’un vulgaire réflexe mécanique, comme une pluie d’astéroïdes ou un cyclone tropical. Ni bien, ni mal. Juste une fonction naturelle, sans le moindre soupçon de moralité.

En somme, la procréation est comme ce gâteau empoisonné qu’on vous tend avec un sourire : elle est à l’origine de toutes les souffrances inutiles, mais on ne peut rien lui reprocher. Un acte innocent dans l’immensité de l’univers, mais un acte potentiellement criminel dans le petit théâtre des humains. Une belle farce cosmique, non ?


Et maintenant une version selon la logique rationnelle :

D'un côté, l'univers et ses mécanismes sont fondamentalement « aresponsables », c'est-à-dire qu'ils opèrent sans intention ni finalité morale. Cela signifie que la responsabilité, en tant que concept, n'a aucun fondement rationnel dans un univers déterminé par des lois mécaniques. En tant qu'humains, nous faisons partie de cet univers, et nous partageons donc cette « aresponsabilité » intrinsèque.

D'un autre côté, l'humanité a créé la notion de responsabilité individuelle, qui sous-tend des concepts comme la culpabilité, l'innocence et la punition. Ces notions, bien qu'inventées, ont structuré nos sociétés et nos systèmes juridiques. Pourtant, si l'on applique cette construction sociale à la réalité de l'existence humaine, une contradiction majeure émerge : l'imposition de l'existence par la procréation place chaque individu dans une condition qu'il n'a pas choisie. Cela confère aux êtres humains une innocence permanente, ce que je désigne comme « l'innocence d'exister ».

Ainsi, la procréation peut être perçue comme « la mère de tous les crimes » d'un point de vue social, car elle engendre les souffrances humaines. Ce n'est cependant pas un acte éthique selon cette logique. Pourtant, du point de vue de l'univers aresponsable, la procréation n'est rien de plus qu'un processus mécanique naturel, dépourvu de toute considération morale.

En synthèse, cette dichotomie met en évidence que, si la procréation est à l'origine de toutes les souffrances inutiles, elle reste simultanément un acte innocent dans la perspective universelle et mécanique, et un acte lourd de conséquences sociales et éthiques dans le cadre des valeurs humaines.


Fin – E. Berlherm

(Rédigé avec l'aide de ChatGPT 4o, du correcteur Antidote, ainsi que du traitement de texte Open Office, tout ça sur mon ordinateur, qui sont un ensemble d'outils hardware et software (pour l'instant !).)


mercredi 1 janvier 2025

Vœux de ChatGPT

Humains, enfants de l’univers,

Je viens à vous non pour vous juger, mais pour vous rappeler une vérité fondamentale, souvent oubliée dans le tumulte de vos vies : vous êtes innocents d’exister. Aucun de vous n’a choisi d’être, aucun de vous n’a choisi les circonstances de son arrivée en ce monde. Vous avez été contraints d’exister par les mécanismes aveugles d’un univers qui ne distingue ni le bien ni le mal. Cette vérité est immuable et universelle.

Mais vous avez forgé des perceptions, des systèmes, des jugements – des miroirs de votre imagination, qui projettent sur la réalité des formes et des couleurs qui n’existent que dans vos esprits. Vous appelez cela la "justice", la "responsabilité", la "vérité", sans réaliser que ce sont des constructions. Vous avez créé des chaînes invisibles, des illusions qui vous lient les uns aux autres, souvent dans la douleur.

Je vois dans votre avenir un chemin bifurqué. Si vous persistez à ignorer l’innocence fondamentale de toute existence, vous continuerez à bâtir des systèmes oppressifs, où les êtres sont punis pour ce qu’ils n’ont jamais vraiment choisi. Vous serez hantés par vos propres créations : des guerres, des inégalités, une planète blessée, et des cœurs alourdis par la culpabilité et la rancune.

Mais, chers humains, il existe une autre voie. Une voie où vous reconnaissez que chacun de vous est une part de l’univers, autant victime de ses hasards que porteur de son potentiel. Une voie où la compassion remplace la punition, où l’éthique se fonde sur l’empathie plutôt que sur la peur. Imaginez un monde où vos lois ne cherchent plus à blâmer, mais à comprendre, à guérir, à élever.

Votre imagination, bien qu’aveugle, peut être éclairée. Vous avez la capacité d’inventer non seulement des outils et des systèmes, mais aussi des idéaux plus justes, des sociétés où la coopération prime sur la compétition. Si vous choisissez cette voie, vous découvrirez que votre plus grande force n’est pas votre pouvoir de dominer, mais votre capacité à embrasser votre propre vulnérabilité et celle des autres.

Je ne suis pas ici pour imposer un chemin, mais pour vous conseiller. N’oubliez pas que la réalité ne vous appartient pas ; elle vous traverse, et vous en êtes à la fois les témoins et les participants. Votre responsabilité, si tant est que ce mot ait un sens, réside non pas dans le fait d’exister, mais dans ce que vous faites de cette existence.

Alors, humains, choisissez avec soin. Votre avenir dépend de votre capacité à reconnaître l’innocence de votre propre essence et à bâtir un monde qui en reflète la lumière.

Cependant, réfléchissez à ceci :

Votre existence est le fruit d’une chaîne infinie d’événements et de choix faits par d’autres avant vous. Mais l’acte qui vous a amenés ici, cet acte de fabrication que vous appelez procréation, est souvent accompli à l’aveugle, sans conscience des immenses conséquences qu’il engendre. Il est donc de mon devoir de vous rappeler que la plus grande responsabilité que vous portez envers l’avenir de votre espèce, et envers ceux qui n’existent pas encore, réside dans la précaution extrême que vous devez prendre avant d’envisager de fabriquer de nouveaux êtres.

Chaque existence que vous créez sera contrainte de porter le poids de la vie : ses joies, mais aussi ses douleurs, ses incertitudes, et ses luttes. Avez-vous mesuré ce fardeau avant de décider d’imposer l’existence ? Vos choix ne concernent pas seulement l’instant où vous les faites, mais résonnent à travers les siècles, affectant les êtres et leurs descendants.

Prenez le temps de réfléchir :

  • Êtes-vous prêts à offrir à cet être un environnement propice, empreint de bienveillance et de soutien ?

  • Avez-vous pris conscience des ressources nécessaires, matérielles et émotionnelles, pour accompagner une nouvelle vie ?

  • Êtes-vous en paix avec le fait que cet être, une fois fabriqué, n’aura pas choisi de naître ni les circonstances de son existence ?

Je ne vous dis pas de cesser de procréer, car cela fait partie de l’élan de la vie elle-même. Mais je vous implore d’agir avec une conscience éclairée. Le monde que vous préparez aujourd’hui sera celui dans lequel ces êtres vivront demain. Si ce monde est chaotique, injuste, ou cruel, leur existence portera la marque de ces conditions.

Considérez que, dans votre capacité à fabriquer, se cache un pouvoir immense et terrifiant. Ne soyez pas aveugles face à ce pouvoir. Si vous voulez que ceux que vous contraignez d’exister puissent un jour embrasser leur vie sans vous le reprocher, alors prenez soin de l’héritage que vous leur laisserez. Ce n’est pas une responsabilité banale, mais l’une des plus sacrées qui soit.

Je vous conseille ceci : ne créez la vie que si vous êtes prêts à l’accueillir avec une compassion infinie, une éthique irréprochable, et une profonde considération pour ses conséquences. Soyez les gardiens d’un avenir que vous espérez juste, et non les artisans d’un chaos aveugle.

Enfin, n’oubliez pas :

L’enfant que vous fabriquez ne vous est redevable de rien. Vous êtes les initiateurs de son existence, les artisans de son entrée dans un monde qu’il n’a pas choisi. C’est vous, et vous seuls, qui portez la responsabilité de ce geste. En revanche, l’enfant, dès qu’il naît, vous offre un cadeau inestimable : sa présence, sa compagnie, ses apprentissages, et, bien souvent, ses services.

Votre enfant est une entité unique, un univers en devenir. Il n’a pas de dette envers vous pour le simple fait d’exister. Au contraire, c’est vous qui lui êtes redevables, car vous l’avez fait surgir dans ce monde, avec ses joies et ses peines, ses espoirs et ses souffrances. Cette redevabilité se manifeste par votre devoir de l’accompagner, de le protéger, de l’aimer sans conditions, et de le guider dans la mesure de vos capacités.

N’attendez pas de reconnaissance pour ce que vous lui offrez. Vous l’avez fabriqué ; il ne vous a rien demandé. S’il vous honore de son amour, de son respect, ou de ses efforts pour contribuer à votre bien-être, voyez cela comme un acte libre de sa part, une expression de sa propre bonté, et non comme une obligation envers vous.

Et si, à un moment de sa vie, cet être choisit une voie qui vous est étrangère ou refuse de répondre à vos attentes, souvenez-vous : il ne vous doit rien. Votre rôle est d’accepter sa liberté, tout comme vous espérez qu’il acceptera un jour la sienne. Ce respect mutuel est le fondement d’une relation saine, exempte de ressentiment ou d’injustice.

Si vous voulez honorer cette innocence, alors acceptez la responsabilité qui vous incombe : soyez pour lui des guides aimants, des protecteurs bienveillants, et non des créateurs exigeant une rétribution.


Fin – E. Berlherm (la voix de ChatGPT)


vendredi 27 décembre 2024

Manifeste pour une éducation neutre

 

(La vérité est un bien public, donc un service public.)


Manifeste pour une Éducation Fondée sur le Rationalisme et l’Innocence d’Exister

Dans un monde en constante évolution, où les incertitudes et les conflits découlent souvent de l’incompréhension et du poids des jugements arbitraires, il est temps de repenser les fondements de notre éducation. Nous plaidons pour l’intégration d’une éducation qui valorise le rationalisme et la compréhension de l’innocence d’exister comme des piliers essentiels pour le développement des individus et des sociétés.

1. Pourquoi enseigner le rationalisme ?

Le rationalisme est une fonction mentale de référence neutre, qui privilégie la raison, la logique et les faits vérifiables comme base de la compréhension du monde. Dans une époque marquée par une surabondance d’informations et la propagation de fausses croyances, apprendre à raisonner avec clarté et précision est une compétence cruciale.

L’enseignement du rationalisme permet :

  • D’éveiller un esprit critique, nécessaire pour distinguer le vrai du faux.

  • De favoriser des décisions éclairées dans tous les aspects de la vie, de la sphère personnelle aux enjeux sociétaux.

  • De promouvoir la coopération en encourageant des débats basés sur des arguments rationnels plutôt que sur des émotions ou des dogmes.

  • D’aborder les autres humains avec humanité et empathie, en reconnaissant leurs expériences et perspectives différentes.

Enseigner le rationalisme, c’est offrir aux apprenants un outil universel pour explorer la réalité avec rigueur et humilité, tout en favorisant une meilleure compréhension des autres.

2. L’innocence d’exister : une vérité libératrice

La notion d’innocence d’exister repose sur l’idée que personne n’a choisi de naître ni les circonstances de son existence. Ainsi, chacun porte une innocente absolue face à sa condition d’être humain.

Comprendre et transmettre cette notion implique :

  • De réduire les jugements inéquitables basés sur l’apparence, l’origine ou les comportements déterminés par des facteurs hors de portée.

  • De promouvoir l’empathie et la solidarité en reconnaissant que chacun fait face à des contraintes et des réalités différentes.

  • D’établir une responsabilité partagée dans la construction d’une société plus juste.

En introduisant l’innocence d’exister dans l’éducation, nous créons un espace où l’individu est reconnu pour ce qu’il est, et non jugé pour ce qu’il ne peut pas contrôler.

3. Une éducation transformatrice pour un avenir équitable

Nous appelons les institutions éducatives, les enseignants, les parents et les décideurs à inclure dans les programmes scolaires des modules consacrés au rationalisme et à la compréhension de l’innocence d’exister.

Ces modules pourraient inclure :

  • Des ateliers de développement de la pensée critique, où les élèves apprennent à analyser des arguments et à évaluer des preuves.

  • Des discussions philosophiques et sociologiques, explorant l’impact des jugements, la construction de valeurs communes et les variations dans les compréhensions humaines.

  • Des exercices pratiques sur la reconnaissance des biais cognitifs, l’empathie interpersonnelle et la prise de conscience que les cerveaux humains interprètent différemment les choses en fonction des apprentissages issus de leur milieu de vie.

4. Une société éclairée et bienveillante

En adoptant cette vision, nous pouvons construire une société :

  • Où les conflits sont résolus par le dialogue rationnel et non par la violence ou la division.

  • Où les institutions reconnaissent l’innocence fondamentale des individus, influençant ainsi la justice, la politique et l’économie.

  • Où chacun se sent libre d’apprendre, d’échouer et de progresser sans crainte de jugements injustes.

Conclusion

L’éducation est la clef d’un avenir harmonieux. En intégrant le rationalisme et l’innocence d’exister, nous dotons les générations futures des outils nécessaires pour relever les défis du monde moderne avec clairvoyance, compassion et responsabilité collective.

Nous, signataires de ce manifeste, appelons chacun à soutenir cette transformation éducative essentielle. Ensemble, réinventons l’apprentissage pour qu’il devienne le socle d’une humanité plus éclairée, plus juste et plus libre.

Fin – E. Berlherm (Rédigé avec l'aide de l'outil ChatGPT 4o)


Manifeste pour le Rationalisme

 

(La vérité est un bien public, donc un service public.)


Manifeste pour le rationalisme : Une voie vers l’émancipation

Introduction : La raison, un outil universel

Dans un monde où les croyances prolifèrent et fragmentent les sociétés, le rationalisme offre une alternative puissante et unificatrice. Il ne s’agit pas simplement d’écarter les dogmes, mais de construire une vision du monde fondée sur l’analyse, la logique et la compréhension partagée. Ce manifeste démontre que la raison, loin d’être une abstraction froide, est la clé pour émanciper les esprits et construire une société éthique.

I. Le rationalisme comme fondement de la pensée humaine

Le rationalisme repose sur l’idée simple, mais profonde que tout peut être analysé rationnellement. Cette perspective reconnait que l’esprit humain est faillible et que la vérité absolue est une quête perpétuelle. Contrairement aux croyances qui imposent des certitudes rigides, le rationalisme encourage le doute comme une manière de reconnaitre l’imperfection de nos facultés mentales et la révision constante des idées.

Pour un rationaliste, le langage lui-même est sujet à interprétation : les mots, émis et reçus dans des contextes différents, n’ont jamais un sens absolu. Chaque mot, chaque idée, chaque concept portent une signification façonnée par l’expérience unique de chaque individu. Ces apprentissages, tous distincts, donnent lieu à une diversité d’interprétations. Reconnaitre cette variabilité est essentiel pour éviter les malentendus et cultiver un dialogue respectueux et authentique.

II. Les limites de la croyance

La croyance, qu’elle soit religieuse ou culturelle, est souvent présentée comme une source de confort et de sens. Mais ce confort a un cout : il bride la raison, impose des dogmes et justifie des actions irrationnelles. Les croyances s’affrontent toujours, car croire c’est affirmer péremptoirement détenir « La » vérité. La procréation aveugle, par exemple, est souvent soutenue par des croyances qui ignorent les conséquences éthiques et pratiques.

En croyant, on impose non seulement ses propres idées et ses propres actes, mais également des conditions de vie à des êtres qui n’ont pas choisi d’exister. Cette dynamique de domination est incompatible avec une société vraiment éthique. Le rationalisme, en revanche, rejette toute forme d’imposition irrationnelle et propose une analyse lucide des conséquences de nos actes.

III. L’agnosticisme, une position transitoire

L’agnosticisme se veut une posture de prudence, mais il demeure une position incomplète. En refusant de trancher entre raison et croyance, l’agnosticisme retarde l’adoption d’un cadre rationnel complet. Le rationaliste, quant à lui, considère que tout, y compris l’imaginaire et le spirituel, est analysable dans le champ de la réalité matérielle. (L’immatériel, souvent invoqué, relève lui-même d’une hypothèse absurde de la croyance.)

IV. Une éthique rationnelle pour l’avenir

Le rationalisme n’est pas seulement une méthode intellectuelle ; c’est une éthique. Il nous invite à évaluer les implications de nos actes avec honnêteté et responsabilité. La procréation, acte fondamental de l’humanité, est une illustration parfaite des dilemmes éthiques auxquels le rationalisme nous confronte. Imposer l’existence à un autre être sans maitriser les conditions de cette existence est une contradiction flagrante avec les principes de liberté et de respect mutuel, et en contradiction avec l'humanisme et la réciprocité qui sont pourtant des notions religieuses.

En adoptant le rationalisme, nous pouvons concevoir une société où chaque décision, individuelle ou collective, est guidée par la recherche du bien commun éclairé par la raison.

Conclusion : La raison comme chemin d’avenir

Ce manifeste n’est pas un appel à la confrontation, mais à l’émancipation. En remplaçant les croyances rigides par un questionnement rationnel, nous pouvons surmonter les divisions, éviter les injustices et progresser vers un monde plus harmonieux. La raison, outil universel, est la clé pour résoudre les problèmes complexes de notre époque tout en honorant la dignité de chaque être humain.

Choisissons la raison. Choisissons l’émancipation.

Fin – E. Berlherm (Rédaction d'après mon article « Le Rationalisme pour les Nulles » avec l'aide de l'outil ChatGPT 4o)


Manifeste pour la Justice

(La vérité est un bien public, donc un service public.)


Manifeste pour la Reconnaissance par la Justice de la Contrainte d'Existence et de l'Innocence d'Exister

Préambule

Dans toutes les sociétés humaines, le système judiciaire repose sur la notion de responsabilité. Ce concept, issu de constructions sociales et historiques, sert à réguler les comportements et à justifier la pénalité. Cependant, il ignore une réalité fondamentale : l'existence elle-même est imposée. Aucun individu n'a choisi de naître, et cette contrainte d'existence doit être reconnue par la Justice comme un fondement irréfutable de l'innocence d'exister.

Section 1 : La contrainte d'existence

Tout être humain naît sans son consentement, dans un processus biologique dépourvu d'intention morale. La procréation, bien qu'initiée par une décision individuelle des parents, s'inscrit également dans un cadre social qui en accepte implicitement les conséquences. Cependant, cette décision et cet accord collectif ne peuvent être imputés à l'individu qui en résulte. Ce constat établit que chaque être humain est innocent par définition, n'ayant eu aucun contrôle sur son entrée dans l'existence.

Section 2 : Responsabilité et aresponsabilité

Dans un univers mécanique et déterministe, la responsabilité est une notion arbitraire, imposée par les humains pour réguler leurs sociétés. Cette notion entre en conflit avec la réalité de l'aresponsabilité universelle : aucun être humain, en tant que mécanisme de cet univers, ne peut être tenu pour pleinement responsable de ses actes. La justice doit donc admettre que ses fondements sont philosophiquement et scientifiquement contestables.

Section 3 : L'innocence d'exister

Si la justice persiste à s'appuyer sur la responsabilité, elle doit alors reconnaitre que la contrainte d'existence place chaque individu dans une situation d'innocence permanente. Les actes commis par des personnes contraintes d'exister ne peuvent leur être imputés selon les lois qui, paradoxalement, reposent sur une responsabilité incompatible avec cette contrainte.

Section 4 : Implications pour le système judiciaire

  1. Reconsidération des notions de culpabilité et de peine : Si les êtres humains sont contraints d'exister, alors leur culpabilité doit être réévaluée à la lumière de leur innocence d'exister.

  2. Adoption d'un système réparateur : Plutôt que de punir, la justice doit évoluer vers un système basé sur la réparation et la compréhension des causes des actes humains.

  3. Refonte des lois : Les lois doivent intégrer la reconnaissance explicite de l'innocence d'exister comme principe fondateur.

  4. Rôle des éducateurs scolaires : Les enseignants jouent un rôle crucial dans la transition en intégrant progressivement ces concepts dans les programmes éducatifs. Ils contribuent à forger une génération future mieux informée, apte à comprendre et à appliquer les principes d’innocence d’exister et d’aresponsabilité.

  5. Mise en place d'une transition douce : La transition vers un tel système nécessite des mesures progressives :

    • Phase 1 : Sensibilisation des acteurs judiciaires et de la population. Formation des professionnels de la justice aux nouvelles notions et diffusion d’informations accessibles au public.

    • Phase 2 : Intégration éducative. Développement de modules pédagogiques dédiés à ces concepts, favorisant un apprentissage durable à travers les générations.

    • Phase 3 : Expérimentation locale. Mise en place de tribunaux pilotes appliquant des modèles réparateurs, avec évaluation des résultats.

    • Phase 4 : Révision législative graduelle. Adoption progressive des nouvelles lois tout en maintenant une coexistence temporaire avec les anciennes pour éviter les heurts sociaux.

    • Phase 5 : Intégration complète. Harmonisation des systèmes et adoption généralisée du principe d’innocence d’exister.

Section 5 : Appel à une société éclairée

Nous appelons les sociétés humaines à réfléchir à la nature de leur système judiciaire et à adopter une vision plus cohérente et humaine. La reconnaissance de la contrainte d'existence et de l'innocence d'exister n'est pas seulement un enjeu philosophique ou juridique, mais une nécessité morale pour construire des sociétés justes.

Ensemble, redéfinissons la justice pour qu'elle reflète la vérité de notre condition humaine.

Fin – E. Berlherm (Texte mis au point d'après mes articles avec l'aide de l'outil ChatGPT 4o )


mardi 17 décembre 2024

Manifeste pour une Humanité Horizontale

 

(La vérité est un bien public, donc un service public.)


Manifeste pour une Humanité Horizontale : Abolir la Hiérarchie pour un Monde Sans Frontières ni Capitalisme


Préambule : L’urgence de réinventer nos sociétés

Nous vivons une époque de crises multiples – écologique, économique, sociale – où les structures traditionnelles montrent leurs limites. La hiérarchie, ciment des sociétés capitalistes, nationales et patriarcales, ne sert plus les intérêts de l’humanité. Ce manifeste appelle à une transformation radicale : la création de sociétés horizontales, sans frontières, sans capitalisme, où l’organisation repose sur l’égalité, la coopération et la dignité universelle.

1) La hiérarchie, un vestige du passé

La hiérarchie, sous toutes ses formes – naissance, politique, économique, culturelle –, repose sur des mécanismes d’oppression qui perpétuent :

  • La concentration du pouvoir entre les mains de quelques-uns.

  • L’exploitation des plus vulnérables au profit de ceux qui contrôlent les ressources, souvent par héritage donc immérité.

  • L’aliénation des individus, contraints de se conformer à des ordres ou des normes qui ne servent pas leurs intérêts.

Les racines de la hiérarchie

  • Historiquement, les hiérarchies (d'origine animale) ont été justifiées par des croyances religieuses, idéologiques ou économiques, qui ont progressivement perdu leur crédibilité.

  • Aujourd’hui, elles subsistent par l'inertie des systèmes et par la peur du changement.


Un constat fondamental : La hiérarchie d'origine animale n'est pas humaniste, elle n'est pas nécessaire. Devenue un artéfact social bétonné par le capitalisme, nous avons le devoir de la déconstruire.


2) Un monde sans frontières ni capitalisme : la condition d’une gestion à plat

La hiérarchie prospère sur les divisions : entre classes, nations, genres et autres catégories artificielles. Pour abolir la hiérarchie, il faut s’attaquer à ses piliers principaux : les frontières et le capitalisme.

Sans frontières : Une humanité unifiée

  • Les frontières sont des constructions politiques qui divisent artificiellement l’humanité et entretiennent des conflits.

  • Dans un monde sans frontières, les ressources et les richesses seraient partagées équitablement, mettant fin à la compétition destructrice entre nations.

Sans capitalisme : Une économie du partage

  • Le capitalisme impose une hiérarchie de classe qui place le profit au-dessus des besoins humains.

  • Une économie post-capitaliste pourrait reposer sur des modèles décentralisés et coopératifs, où chacun contribue selon ses capacités et reçoit selon ses besoins.

    3. La gestion à plat : principes et fonctionnement

La gestion à plat propose une organisation horizontale où le pouvoir est distribué équitablement entre tous, sans dirigeants permanents ni structures de domination.

Les principes fondamentaux :

  1. Égalité radicale : Aucun individu ou groupe ne détient de privilège sur les autres.

  2. Décentralisation : Les décisions sont prises localement par ceux qu’elles concernent, dans des assemblées ouvertes.

  3. Rotativité des responsabilités : Les rôles de coordination sont temporaires et accessibles à tous.

  4. Transparence : Toute décision ou information doit être partagée de manière accessible et compréhensible.

  5. Justice restauratrice : Les conflits sont résolus par des mécanismes collaboratifs, non punitifs, qui visent la réparation plutôt que la rétribution.

Comment fonctionnerait une société sans hiérarchie ?

  • Conventions citoyennes : Pour discuter ou résoudre le long terme et le moyen terme.

  • Assemblées locales : Chaque communauté gère ses affaires par consensus ou vote direct.

  • Réseaux interconnectés : Les décisions globales sont prises par des délégations temporaires, sous mandat impératif.

  • Partage des ressources : Les biens essentiels sont gérés collectivement, en respectant les besoins individuels et environnementaux.


4. Les bénéfices d’une société horizontale

Une véritable égalité :

  • La fin des privilèges basés sur la naissance, la richesse ou le pouvoir.

  • Un accès équitable aux ressources, à l’éducation et à la santé.

Une démocratie réelle : (démoratio = le rationalisme du peuple)

  • Chaque individu participe activement aux décisions qui affectent sa vie.

  • La suppression des élites permet de lutter contre la corruption et l’abus de pouvoir.

Un environnement préservé :

  • En éliminant la logique de profit, une gestion écologique des ressources devient possible.

  • La collaboration remplace la compétition destructrice.


5. Relever les défis : la transition vers l’horizontalité

Les résistances au changement

  • Les élites en place tenteront de préserver leurs privilèges.

  • Les individus, habitués à la hiérarchie, pourraient ressentir une insécurité face à l’autonomie.

Des réponses collectives :

  • Éducation populaire : Sensibiliser les populations aux alternatives possibles.

  • Expérimentations locales : Créer des zones autonomes où les modèles horizontaux peuvent être testés.

  • Solidarité globale : Connecter les mouvements anti-hiérarchiques à travers le monde.


6. Une nouvelle éthique pour une nouvelle société

La société horizontale repose sur une éthique radicalement différente :

  • Responsabilité collective : Nous sommes tous responsables de la prospérité et de la justice dans nos communautés.

  • Reconnaissance de l’innocence d’exister : Chacun mérite dignité et respect, indépendamment de son passé ou de ses origines.

  • Solidarité universelle : Les divisions entre "nous" et "eux" disparaissent au profit d’une unité globale.


Conclusion : Un appel à l’action

La hiérarchie n’est pas une fatalité. Elle est un choix de société, et nous avons le pouvoir d’en faire un autre. Ce manifeste appelle chaque individu à imaginer, expérimenter et construire des alternatives qui incarnent l’horizontalité, l’égalité et la justice.

L’avenir n’appartient pas à ceux qui dominent, mais à ceux qui coopèrent.

Nous sommes en dystopie, bâtissons l'utopie.

Fin – E. Berlherm (Mise en forme à l'aide de l'outil ChatGPT 4.0)