Nous sommes tous formatés dès la naissance au Travail Obsessionnel Compulsif qui devient rapidement un TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif).
Pour quelle raison, vos parents, vous ont-ils mis au monde ? Pour leur besoin personnel, gouter le pouponnage, avoir des amis sincères formatés à l'amitié familiale, travailler pour payer leurs retraites (celle de vos parents ou des autres si vous devenez orphelin), garantir leurs santés au cas où (la santé de vos parents et celles des autres si vous devenez orphelin), travailler pour la société, chair à impôt, chair à boulot, chair à canon, et donc servir la société pour être géré et éventuellement la servir en la gérant (n'est-ce pas bizarre ?). Mais il ne vous ont pas mis au monde pour vous-mêmes puisque ça ne veut rien dire...
Commentaire publié sur YouTube - Arte - Street Philosophy - « Vis pour travailler ! »
https://www.youtube.com/watch?v=I8cVC3F3tOw → « Il faudrait d'abord se poser la question: ''Est-ce que ça sert à quelque chose d'exister ?'' Et tant que vous n'avez pas la réponse, pourquoi imposer, à quelqu'un qui n'a rien demandé, une existence dont vous ne connaissez pas la raison ? Pourquoi imposer la souffrance ? Pourquoi imposer la mort ? Pourquoi imposer le travail pour ne pas souffrir de la faim, de la soif, etc. ? Travailler ou souffrir (de faim, de soif, de froid, etc.), cela s'appelle du chantage à la souffrance, et c'est donc de l'esclavage non dit. Nous avons tous été fabriqués pour rien, en ce qui concerne chacun d'entre nous, avant d'exister. Mais nous avons tous été fabriqué pour servir maman-papa et la société, qui sont tout comme nous des gens à qui l'on a imposé l'existence pour être esclaves. Et tout comme nous ce beau monde stupide ne se pose pas la question de savoir si cela sert à quelque chose d'exister.
L'Allemagne, la France, prétendent être des « sociétés ». Mais « société », est-ce que cela ne signifie pas que les habitants du territoire sont associés à parts égales ? Est-ce que ça ne signifie pas qu'ils sont égaux de naissance et jusqu'à la fin de leur vie ? Ces « sociétés » ne sont-elles pas des sortes de maisons dans lesquelles chacun fait les corvées essentielles à l'existence? Quand on entre dans une société est-ce que l'on ne signe pas un contrat d'association, un contrat social? J'ai beau chercher mon contrat d'existence, je ne le trouve pas. Je l'ai peut-être perdu. Y a-t-il une copie quelque part? Puis-je voir ma signature? C'est vrai qu'avant d'exister j'aurais eu quelque mal à signer quoi que ce soit! Au fait vous les journalistes (et les artistes), ne vous sentez-vous pas un peu parasite dans la maison, à discuter et à ne rien faire d'essentiel, d'existentiel? Avez-vous été paysans, ouvriers d'usine, avez-vous construit les machines et transporté la nourriture jusqu'aux bouches et estomacs de Danaïde que nous possédons tous? Personnellement, j'ai fait une part de ces corvées, suffisamment longtemps pour ne pas me sentir redevable, et c'est moi qui juge. Mais vous, et les fonctionnaires, et les politiciens de naissance, n'êtes-vous pas que des parasites? On peut vous comprendre, après tout personne n'a signé de contrat natal ni social, et tous nous avons étés contraints d'exister. Autant laisser les couillons accomplir les scheiß-Jobs (shit Jobs ou Boulot de merde). N'est-ce pas? »
Commentaire publié sur YouTube - Arte - « Travailler a-t-il un sens ? »
https://www.youtube.com/watch?v=mU9jMhXLTN0&t=7s → « Le travail n'a pas de sens puisque la vie n'en a pas (quel que soit le sens du mot, travail). La question qu'il faut se poser à propos de « trepalium » est, pourquoi dit-on que le travail est une torture ? Et non pas se poser des questions sur la validité de l'étymologie. Le travail est une obligation qui est faite à l'individu, quelles que soient les origines de l'obligation ; alors que s'occuper (sans obligation) c'est vivre sans contrainte aussi librement que possible, mais comme toujours après avoir été obligé d'exister, c'est-à-dire mis devant le fait accompli de l'existence. Nous avons été fabriqués sans vergogne par des parents qui ne maitrisent rien, ni la fabrication de notre corps, ni notre éducation, et même pas la propreté du berceau dans lequel ils nous ont installés (la Nation, la Terre). Et ensuite ces bons à rien nous demandent de prendre le relai. Mais comme nous avons été fabriqués et éduqués par des incapables alors nous sommes tout autant incapables et de plus en plus nombreux, ce qui n'améliore rien. Nous sommes tenus de travailler parce que notre corps nous l'impose. Nous sommes soumis au chantage à la souffrance (faim, soif, froid, santé, etc.) par construction. Nos parents le savent à l'avance, ils nous construisent ainsi volontairement. Si nous souffrons, c'est leur volonté. Si nous mourons, c'est leur volonté. (dans la mesure où leur volonté est libre.) Parce que c'est leur volonté (?) de nous faire exister. Nous travaillons pour échapper à la souffrance. La société connait cette obligation, elle en profite. Nous pourrions être dix-mille sur terre et vivre sans obligation de "travailler", mais notre surnombre fait de nous des esclaves, auquel s'ajoute la surexploitation par le capitalisme national et individuel. »
Commentaire publié sur YouTube - Arte - « Travailler a-t-il un sens ? »
https://www.youtube.com/watch?v=mU9jMhXLTN0&t=7s → « Travailler, c'est en principe nécessaire, d'abord pour se nourrir et tenter de se maintenir en bonne santé. C'est aussi utile pour faire fonctionner une entreprise afin qu'elle tourne aussi bien qu'une horloge bien huilée. L'ensemble des entreprises de la Nation doivent fonctionner correctement pour que la Nation fonctionne elle-même correctement comme une horloge bien huilée. Les Nations doivent, elles aussi, toutes être bien huilées pour tourner en accord les unes avec les autres pour que l'horloge humanité fonctionne correctement. Mais si l'horloge humanité n'a pas d'utilité, ou si l'horloge humanité va à la casse inéluctablement au final. Pourquoi faire souffrir des milliards de personnes pour faire tourner un truc qui ne sert à rien? À quoi sert de faire tourner un truc, une horloge qui ne donne l'heure à personne, une horloge qui ne peut être pérenne? Les rouages que nous sommes, par dizaines de milliards, doivent-ils souffrir et mourir pour rien, et même pas pour savoir quelle heure donnera l'horloge humanité à la fin de sa vie de machine mal huilée? À quoi servons-nous si la machine (l'horloge humanité) que nous composons en tant que simples rouages ne sert à rien, ne pense pas, ne souffre pas, n'est consciente de rien? À quoi nous sert demain, quand il n'y aura plus personne ce demain-là? À quoi sert le savoir de l'humanité quand l'humanité n'est pas un être pensant ni souffrant ni conscient et qu'elle n'est pas plus pérenne qu'un individu qui lui est pensant et souffrant et conscient? Le travail n'a de sens que pour nous maintenir, mais pourquoi imposer l'existence à une personne qui devra trouver un sens à sa vie alors que ce sens n'existe pas dans l'absolu et qui en plus devra travailler pour se maintenir en vie et en aussi bonne santé que possible? Y a-t-il beaucoup de gens en souffrance qui mettent des commentaires sur le sens du travail et de la vie? Ont-ils le temps de penser et de commenter ceux-là à qui vous avez imposé l'existence pour votre service inutile? »
Conclusion
Travailler et Occuper son temps. Ce sont deux choses totalement différentes dans le principe, mais tout aussi inutiles l'une que l'autre.
Travailler c'est être un rouage social qui nous est imposé parce que nous sommes soumis au chantage de notre corps (fabriqué par nos parents, et non par nous-mêmes, sinon nous aurions évité de nous imposer ces imperfections corporelles et mentales), chantage à la faim, à la soif, et aux multiples besoins de notre corps de notre santé. Le galérien est fouetté pour qu'il choisisse entre souffrir ou ramer plus fort. Vous n'avez pas besoin d'être fouetté, vous avez à la fois le système de souffrance inhérent à votre être et le système social qui exerce une coercition sans le dire... et vous obéissez sagement.
Occuper son temps de vie (dans un monde où ce chantage ne serait exercé sur personne), c'est également un besoin, mais mental, vous cherchez à briser l'ennui. Vous êtes curieux tant que vous avez l'impression que les trous de connaissances de votre cerveau sont importants, ensuite routine, habitudes. Vous pouvez passer d'une occupation à l'autre. Vous choisissez. Mais vous pouvez rester sur place, farniente total. Pas d'obligation extérieure, vous n'êtes esclave que de vous-mêmes. Essayez donc de ne rien faire dans nos sociétés, vous serez vite rappelé à l'ordre, à moins d'être héritier ; l'administration est partout. Faites malgré tout attention à votre héritage... Cet héritage étant par ailleurs le résultat du « travail illégitime » de vos négriers de parents.
Pour qu'il y ait un minimum de chantage et en tout cas pas de chantage social à la souffrance, il eut fallu qu'à la naissance vous ayez obtenu une parcelle de terrain garanti viable dans tous les domaines de l'existence : nourriture, boisson, logement, sécurité, santé. Vos associés sont-ils éthiques à ce point ? Et vous l'êtes-vous ?
En 2021 en France, il y aurait eu 5,7 millions de fonctionnaires, en gros une personne sur 12. C'est-à-dire que sur 12 personnes il y en a une qui gère les autres. Il y aurait eu également environ 15 millions de mineurs en préparation pour devenir travailleurs, ou fonctionnaires faisant semblant de travailler. Cela fait environ 20 millions de personnes qui ne produisent aucune alimentation directement. Ils reçoivent la béquée. C'est ainsi, c'est le système. L'horloge tourne de cette manière. Mais pourquoi faire d'une société animale une horloge ? À quoi cela sert-il ? À qui cela sert-il ? Le travail répétitif fait-il de nous de meilleurs animaux ? Fait-il de meilleures sociétés ? La société n'étant personne pourquoi aurait-elle besoin d'être améliorée si elle n'améliore pas les conditions de vie de chaque individu ? Est-il meilleur de travailler aujourd'hui en usine plutôt que d'être chasseur-cueilleur ?
Quand on aime quelqu'un on ne le contraint à rien, et on ne le contraint pas à travailler et encore moins par chantage à la souffrance.
Le travail est une valeur religieuse, du moins promue par la religion. Le capitalisme utilise la religion. La notion de valeur travail est un acoquinement entre capitalisme et communisme. Le communisme c'est la mise en commun du travail de presque tous, tandis que l'oligo-capitalisme pompe le travail commun pour quelques-uns.
Si la société a un droit de regard sur vos retraites alors elle a un droit de regard sur les naissances. Si elle n'a pas de droit de regard sur les naissances, elle ne doit pas en avoir sur les retraites. Si la société n'a pas de droit de regard sur la procréation donc sur l'utérus des femmes, elle ne doit pas en avoir sur les retraites. Les fonctionnaires ne peuvent légiférer sur les utérus, donc sur l'avortement, donc sur les femmes donc sur les hommes donc sur le travail, donc sur les retraites. Que les fonctionnaires travaillent pour eux, qu'ils s'occupent de leurs propres ognons, et les poules se garderont bien elles-mêmes !
Vieux et Nourrissons : ce sont les âges les plus importants de l'existence, et pourtant leurs « gestions » ont été déléguées à d'autres personnes que leurs propres parents. Vile société !
Si les vieux sont considérés par les entreprises et la société comme des handicapés, alors il faut revoir le régime des vieux et leur donner une allocation adulte handicapé, et faire payer les entreprises qui considèrent les vieux ainsi. Soit ils sont un handicap pour l'entreprise, soit ils ne le sont pas. Il faut choisir.
Pourquoi le salaire d'un patron doit-il être supérieur à celui d'un employé ? Égalité des personnes, éthiques, société d'associés. Pourquoi le patron se paie-t-il sur le travail des employés sans leur demander leur avis sur le salaire qu'il s'octroie ? Sommes-nous en Démocratie ou en Patroncratie ? Le patron a-t-il été élu par les employés de l'entreprise alors qu'il en fait lui-même partie ?
Pourquoi les chefs de nos nations ont-ils décrété que la tête valait plus que le muscle ? Parce que cela les arrange de nous faire croire que leurs têtes valent plus que nos muscles, cela doit être vrai puisqu'ils nous ont tous roulés dans la farine... excepté ceux qui ont lu ce texte et les autres articles (c'est pour ma pub).
Le travail est un mécanisme répétitif autistique ; le travail est une aberration humaine, de l'esclavage, il rend stupide. Quand une personne travaille, on lui demande d'être rentable et donc de ne s'occuper de rien d'autre, et bien entendu de ne pas réfléchir aux problèmes existentiels qui remettraient en cause son besoin de travailler ; et quand elle rentre dans sa famille elle est pressée de se vider la tête des conneries répétitives que les gestes du travail induisent dans son cerveau. La philosophie ayant pour sujet le travail, ce sera pour un autre jour. Un comédien qui se met tous les soirs dans l'émotion de son rôle a besoin de se vider la tête de ces émotions qui ne sont pas les siennes. Mais quand le travailleur revient chez lui, a-t-il appris à se libérer des mécanismes mentaux acquis au boulot, comme on apprend à un comédien à le faire ? Le rythme du boulot nous fait tous bourrichonner. Nous ne sommes pas faits pour ça, nous ne sommes pas faits pour cette vie répétitive, aucun animal normal ne l'est. Notre corps entier a besoin d'équilibre, de gestes divers et variés pour que l'ensemble des muscles et du cerveau fonctionne harmonieusement. La sédentarité n'est pas bonne pour la santé, les médias nous le rappellent sans cesse. En tant qu'animaux, nous sommes constitués pour rester en éveil, pour être curieux, imaginatifs. Nous sommes des êtres mobiles, des marcheurs, nous sommes constitués ainsi. L'obésité gagne le monde humain, trop riche, trop con. Pourquoi avons-nous inventé ce qui fait de nous des machines routinières ? Et pourquoi, au moment où des crétins veulent imposer de travailler quelques années supplémentaires à leurs associés afin des les ponctionner encore plus quand eux-mêmes ne font aucune corvée, pourquoi donc faites-vous encore des enfants ?
Notre ministre actuel a dit qu'il sera gentil avec les gentils et méchant avec les méchants, soyez donc méchants avec lui, car il n'est certainement pas un gentil. (N'oubliez pas, cependant, qu'il est, lui également, innocent d'exister... donc méchant par nature, qu'il faudrait simplement revoir son éducation.)
Vous êtes dans une société, la Maison France, dans laquelle les corvées ne sont pas distribuées équitablement. Ceux qui n'en font aucune réclament, à ceux qui les font douloureusement, des impôts qui servent avant tout à les nourrir de façon à pérenniser leurs existences de parasites. Ces gens-là ne servent à rien. Ils l'ont démontré au cours des temps. Ils sont responsables de toutes les guerres, de toutes les violences, de toutes les stupidités de notre humanité. Il faut toujours leur forcer la main pour obtenir plus d'éthique plus d'équité. Ils se sont établis comme nos maitres. Ils nous gèrent par la stupidité du système que nous pérennisons nous-mêmes en leur donnant des petits esclaves. Il ne sert à rien d'exister. Il n'est même pas certain que nos gouvernants l'aient compris. Cessez de leur fournir de la main-d’œuvre.
Nos systèmes gouvernementaux hiérarchisés dans le monde sont tels qu'une seule personne peut foutre dans la merde huit-milliards d'êtres humains.
Mon intérêt personnel à travailler : pour travailler, il faut que je sois nourri et pour me nourrir il faut que je travaille ! Combien de temps faut-il que je travaille pour me nourrir pour travailler une journée ? Et combien pour dormir sans avoir à travailler ? Et que me reste-t-il à travailler pour occuper mon temps hors travail ? Et à quoi me sert ce temps hors travail (sans compter le temps de repos pour le travail effectué) ? S'il ne me sert à rien à quoi me sert de me maintenir en vie à travailler pour ce laps de temps très court ? L'intérêt de ma vie dépend-il de la durée de ce laps de temps s'il me sert à quelque chose ? Après mon existence mon travail m'aura-t-il servi à quelque chose ? Réponse : non puisque je n'existerais plus.
Vivre une fraction infime des milliards et milliards et milliards d'années d'existence de l'univers permanent vous parait-il suffisamment intéressant pour fabriquer une personne afin qu'elle vous rejoigne dans cette vie inutile et insipide de travail pour les autres actuels, et ces autres au-delà du temps de la vie de cette personne et aussi de la vôtre ?
Fin – E. Berlherm
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