mardi 11 mai 2021
Contrôle de l'agressivité
Eau et Argent
Tous Empoisonneurs
Comment un rationaliste et un croyant voient-ils le fait d'avoir été contaminé au COVID, qui est un empoisonnement puisqu'on peut au pire (ou au mieux) en mourir ? Comment le gouvernement et la Justice voient-ils une épidémie qui est un empoisonnement des uns par les autres et que l'on se refuse à appeler crime alors que si cela est fait volontairement c'est un crime volontaire ?
Pourquoi la transmission d'un virus, de la simple grippe, n'est elle pas considérée comme un crime par la justice officielle ? Du moins un délit, car c'est avec évidence une mise en danger de la vie d'autrui ? Peut-être attend-elle, la justice, que l'un d'entre nous porte plainte !
Comment les croyants et les non-croyants voient-ils le fait d'être porteur et transmetteur ?
Pourquoi la normalité d'un fait est-elle parfois jugée criminelle et parfois non ?
Tout être vivant est un empoisonneur. Tout être vivant est porteur de poisons, de virus, de bactéries. Tous les humains sont des empoisonneurs donc des tueurs. Vous vivez, vous empoisonnez, vous tuez.
Combien, chacun d'entre nous, avons-nous tué d'autres humains ?
Quand vous savez être un empoisonneur potentiel ne devez-vous pas éviter la transmission ?
Puisqu'un dieu a empoisonné Adam et Ève et empoisonne tout le monde par la suite, selon les croyants, alors vous pouvez le faire ? Que le plus fort résiste ! C'est animal. Que les bons et les justes résistent ! C'est divin. D'après ce principe, il ne devrait plus y avoir aucun malade et transmetteur sur Terre depuis longtemps, car ils devraient être tous morts et seul le bien devrait régner. J'ai quelque doute sur la réussite du projet divin !
Mais la justice traite des crimes volontaires et involontaires, alors pourquoi le gouvernement qui fait les lois utilisées par la justice ne traite-t-il pas cette sorte d'empoisonnement communautaire comme des crimes (involontaires) ? Pourquoi les gens ne se rendent-ils pas compte que transmettre un virus est criminel ? Ne le savent-ils pas avec le SIDA ou avec une MST, et la justice ne traite-t-elle pas ce cas comme un acte criminel ? (Si vous savez que vous êtes porteur du SIDA et que vous copulez sans prévenir le partenaire et sans protection vous êtes légalement condamnable.)
Le virus est un poison. Mettriez-vous du poison dans les aliments de vos amis ? Quand vous fumez, vous mettez le poison nicotine dans l'air que respirent vos amis. Voulez-vous un peu de poison dans votre verre d'eau, svp ? Voulez-vous un virus COVID dans l'air que vous respirez svp ?
Transmettre un virus de la grippe (s'ils avaient dit que la COVID-19 était le choléra ou la peste, les gens ne l'auraient peut-être pas traité comme une simple grippe (grippe aviaire, grippe du pangolin, etc.) ?) et n'être qu'un simple vecteur parait normal. C'est normal. Mais c'est criminel si on peut l'éviter. Et c'est criminel de le transmettre toujours. Si vous savez que vous pouvez être porteur et donc transmetteur et que vous n'agissez pas en conséquence, vous êtes un criminel même si vous ignorez si vous êtes effectivement porteur.
Les envahisseurs colonisateurs successeurs de Christophe Colomb ont décimé les populations indigènes, car ils étaient porteurs de maladies inconnues des populations. Je suppose donc qu’inversement les maladies des indigènes n'ont pas beaucoup affecté les envahisseurs.
Nous sommes huit-milliards de vecteurs de maladies, huit-milliards de porteurs d'ADN calamiteux, c'est beaucoup trop. Non seulement nous nous contaminons gaiment les uns les autres et vive la loi de l'évolution ! Mais nous contaminons les bêtes, car si eux nous transmettent évidemment nous leur transmettons. Quand nous zigouillons sans coup férir des milliers de bœufs, de visons, de poulets, de bouquetins sauvages, peut-être ces braves bêtes attendent-elles la réciprocité ! Alors, zigouillons-nous, c'est-à-dire réduisons notre population sans tuer personne et sans obliger personne à exister pour devenir un criminel transmetteur morbide sans son consentement, la planète y gagnera en sérénité.
Fin – E. Berlherm
L'Analyste et le Philosophe
Le philosophe officiel est un normopathe donc un sociophile. Il a des devoirs sociaux. Il doit être en accord avec l'ordre public. Son but n'est pas d'utiliser la vérité vraie pour établir sa philosophie. Il doit se censurer et donc occulter ses idées les plus troublantes.
Le philosophe professionnel gagne sa vie en vendant ses idées sous forme de bouquin. Ses livres doivent être vendables. Il doit donc lui aussi se censurer et vous cacher ses idées les plus angoissantes, car il doit être surprenant pour être attractif, éducateur de masse, mais consensuel.
Le philosophe éducateur donne des cours de philosophie, essentiellement à des enfants, en suivant les directives de sa hiérarchie. Il doit donc également se surveiller et dissimuler ses trouvailles les plus préoccupantes, quand il en a, car il est surtout un exégète historien des anciens philosophes.
Le philosophe détaché, l'excentré du social, le philosophe rationaliste, le véritable philosophe est d'abord un analyste, il ne doit tenir compte que de la vérité en sachant ce qu'elle vaut. Il ne doit rien censurer, ni dans ce qu'il utilise, ni dans ce qu'il pense, ni dans ce qu'il dit. Il est analyste, mais il reste humain, donc il fait des erreurs. Mais il partage, car il sait que ses idées doivent être discutées.
Pour étudier un nouveau véhicule, il faut tracer une plus ou moins vaste bulle autour de ce véhicule imaginaire afin de répertorier tous les éléments qui seront en relation avec ce véhicule à tous les instants de son utilisation, de sa conception à sa mort. Pour réaliser ce genre d'étude, je conseille l'arborescence de questions.
Pour étudier un être humain, une seule personne, il faut en faire autant. La bulle doit se déployer largement autour de la conception et suivre l'individu jusqu'à sa fin, donc englobera inhumation et deuil social, l'impact qu'il a eu sur son environnement avant, pendant et après son existence. La bulle est donc spatiale, ce qui englobe la sensation de temps que nous percevons. Cette bulle, pour être correctement déployée, devra englober la société, le pays, l'humanité, la Vie, le monde, l'univers. Il doit étudier la matière du bonhomme ou de la brave dame et son comportement, et comparer avec ses propres impressions, sa perception, sa pensée, sa mémoire, sa conscience et chercher à en connaitre le fonctionnement matériel et mécanique. Cela fait du boulot. Il est temps de s'y mettre.
N'attendez jamais des officiels, des intégrés à la société, qu'ils découvrent ou dévoilent des vérités fondamentales. Ces êtres-là sont des conservateurs. Leurs propres modes de vie, leurs idées de stabilité, comptent plus que la souffrance des autres. Les révolutions ne partent jamais de ce milieu. Au contraire, ils sont les stabilisateurs les normalisateurs à la solde des États qui eux-mêmes sont en place pour maintenir le statuquo. Mais avant de pouvoir agir de la base, il faut répandre les idées, afin que la base soit forte, large et unie.
Quand un être souffrant est conçu comment défaire la souffrance ? Pourquoi concevoir la souffrance, s'il y a le moindre risque ?
Fin – E. Berlherm
jeudi 15 avril 2021
Pétition pour un Référendum - Partage des richesses
Présentation
Je ne sais si une pétition a déjà été proposée pour le partage des richesses en France ou ailleurs. En ce qui me concerne, je n'aurais certainement pas le temps de suivre la pétition jusqu'à son terme, car elle risque de durer de nombreuses années. Alors si une jeune personne intéressée par la question possède la niaque à long terme, qu'elle se lance. Le mieux serait de fonder une petite association (pour commencer) pour assurer la pérennité de la démarche.
Que votre « intuition » vous dise que le partage des richesses et que ce que j'avance dans ce texte est irréalisable ou utopique, c'est une chose, mais est-ce que les assertions avancées sont vraies, justes et équitables, là est la véritable question et vous devez y répondre honnêtement.
La pétition, pour être originale, doit utiliser les arguments que je défends sur la contrainte d'existence et l'innocence d'exister qui en découle ; ce qui aura peut-être l'effet souhaité qui est de promouvoir l'idée d'innocence d'exister et d'invitation à exister.
Cette pétition doit donner les raisons, toutes les raisons à ce partage, aussi exhaustives que possible. Ces raisons doivent être basées sur la contrainte d'existence et donc l'innocence d'exister de chacun et de tous, et doivent être présentées en commençant par « Étant donné ».
Par contre, la question posée pour le référendum doit être aussi simple que possible et ne nécessiter comme réponse qu'un oui ou un non.
(Comme un syllogisme avec de multiples prémices et une conclusion inéluctable.)
Je vous soumets ce texte, et vous demande de l'améliorer, car je pense qu'à part les riches et les bien-dotés, nous qui voulons l'équité et la justice, nous qui sommes humanistes, nous désirons tous ce partage.
Début
Proposition pour une pétition demandant la réalisation d'un référendum sur le partage des richesses en France :
Humanisme
Étant donné le désir « officiel » d'humanité confirmé par les droits de l'homme imaginés en France, et les droits de l'être humain répandus sur toute la planète, et prôné par l'ONU, dont l'ensemble des États qui y adhèrent,
Étant donné le désir d'humanité de milliards d'individualités,
Étant donné que l'humanisme ne s'arrête pas à chaque frontière,
Animalité et Évolution
Étant donné que nous désirons tous transcender notre animalité (exceptés les dirigeants, les capitalistes, et les religieux),
Étant donné que l'humain est le seul animal capable de contrôler la procréation au point de s'interdire de procréer et d'interdire la procréation par le viol (tout en l'autorisant par le viol patriarcal dans de nombreux pays),
Étant donné que l'être humain est le seul animal capable de gérer la surpopulation familiale,
Contrainte et Innocence
Étant donné que nous avons tous été mis devant le fait accompli de l'existence,
Étant donné qu'aucun d'entre nous n'a demandé à exister,
Étant donné que la contrainte d'existence équivaut à une innocence d'exister et conséquemment à l'innocence de nos actes impossibles à réaliser ou à commettre sans cette existence imparfaite,
Étant donné que l'existence des individus n'est pas un choix personnel et pour l'humanité un choix de l'espèce, mais que c'est une mise devant le fait accompli, une contrainte naturelle ou une contrainte parentale,
Étant donné qu'il est inutile de continuer de s'entre-déchirer puisqu'aucun humain n'est responsable de l'existence de l'humanité et de ses imperfections mentales qui l'ont conduit où elle en est (voir la notion « d'aresponsabilité » et le dossier « le cinquième élément »),
Défauts intellectuels et physiques
Étant donné que chacun mérite le bienêtre, la longévité, une vie passionnante, puisque personne n'a demandé à exister, la société se doit de compenser les défauts intellectuels et physiques dont elle a accepté la construction sur un des membres de sa société,
Étant donné que personne n'a demandé à vivre pour souffrir, que ce soit par le hasard de la naissance ou au cours de sa vie, la société se doit de tout faire pour éviter si possible cette souffrance et la dédommager quelle qu'elle soit quand elle survient,
Étant donné que chacun est comptable de l'existence des autres puisque (presque) tous nous admettons la normalité de la procréation, nous devons donc tous participer à la compensation et au dédommagement des handicaps physiques et intellectuels et des souffrances physiques et intellectuelles considérées jusqu'à présent comme de simples dommages collatéraux, alors qu'il est inutile d'exister avant d'exister, mais qu'il est normal de bien vivre quand on est humain et qu'on nous a, tous, obligés à exister pour le service social,
Éducation
Étant donné que personne ne maitrise le système procréatif, et que chacun peut ainsi naitre en bonne ou mauvaise santé, et doté d'un bon ou mauvais intellect,
Étant donné que personne ne maitrise le système éducatif qui dépend du système procréatif,
Étant donné que nous naissons vierges de toutes fonctions et connaissances culturelles et que tout ce que nous possédons physiquement et intellectuellement nous est imposé ; nous ne sommes que ce qui nous constitue et qui nous a été imposé aussi bien physiquement qu'intellectuellement,
Étant donné que nous ne sommes pas responsables de notre éducation qui est une éducation obligatoire de par les lois sociales et sous le contrôle de l'État donc sous la responsabilité de l’État,
Étant donné que nous ne sommes pas responsables de nos structures mentales, ni de l'existence de nos fonctions mentales pas plus de leur fonctionnement ou de leurs capacités, ni des informations à acquérir, ni des obligations de survie, ni des obligations sociales, et que personne évidemment n'a jamais adhéré à la société avant d'avoir été conçu, et donc que personne n'a jamais accepté d'être éduqué même si cette éducation est préférable à une absence d'éducation,
Économie, Argent et Revenu
Étant donné que l'argent et le capitalisme sont des réalisations préhistoriques dévoyées dans ce monde moderne, et tout à fait obsolètes,
Étant donné que l'esclavage monétaire et capitaliste engendre la souffrance et la mort de milliards d'êtres humains alors que les capacités pour la distribution équitable et égale des biens mondiaux existent,
Étant donné l'utilisation incohérente de l'argent en une monnaie unique pour traiter des éléments aussi différents que sont le vital, l'essentiel, et le superflu (voir « Le sens de l'argent »),
Dû d'existence
Étant donné que la contrainte qui nous a été faite d'exister implique que l'existence nous est due dans les meilleures conditions de santé, de bienêtre, de longévité, et d'intérêt de l'existence, ainsi que le désire chaque parent pour son enfant ; alors que nous sommes tous enfants d'enfants,
Étant donné que le dû d'existence est une implication tacite des droits de l'être humain afin qu'il ne tombe pas dans l'esclavage de principe, par le besoin de s'alimenter, de se protéger, de s'abriter, de se vêtir, ce qui est du chantage à la souffrance causée par ce fonctionnement (non désiré) inhérent à l'être humain comme à tout animal,
Inutilité de l'existence
Étant donné que la procréation ne sert que ceux qui existent déjà,
Étant donné que la vie n'est pas pérenne, que l'humanité n'est pas pérenne, qu'aucune espèce n'est pérenne, et qu'il est donc inutile de se battre pour la pérennité de quoi que ce soit,
Société = Associés
Étant donné qu'aucun associé volontaire n'accepterait d'être berné dans une association,
Étant donné que nous sommes des sociétaires de notre Nation par contrainte et que cette association bénéficie à la Nation qui ne peut exister sans notre existence,
Étant donné que nous sommes soumis aux lois sans avoir accepté cette soumission, sans avoir demandé à participer, sans avoir accepté l'association, sans même que nos parents aient signé le moindre contrat natal en notre faveur, et sans que nous n’ayons jamais signé le moindre contrat social,
Étant donné que ces lois sont des lois établies pour la plupart, et surtout les lois fondamentales, par des personnes mortes depuis longtemps et que personne ne devrait avoir à obéir à un mort,
Étant donné que dans une association, tout le monde doit réaliser les corvées de la Nation (la Maison France) considérées comme un « devoir commun » ou un « bien commun » puisque sans ces corvées pas d'existence possible (ne pas faire de corvées est une position de dictateur esclavagiste),
Étant donné que dans une association aucun associé n'admettrait avant signature du contrat social d'être moins bien rémunéré ou doté qu'un autre associé,
Esclavage et Chantage
Étant donné que la procréation est de l'esclavage et une mise en danger criminelle de la vie d'autrui (voir l'article « la procréation est la mère de tous les crimes »),
Étant donné que personne n'admet l'esclavage ni la dictature pour soi-même, mais que tout le monde (ou presque) admet la dictature absolue et l'esclavage qu'est la procréation, ce qui est une contradiction,
Étant donné que l'esclavage et le chantage sont interdits par les droits humains et que de ce fait personne ne devrait être tenu de travailler par obligation due au fait même de nos souffrances incluses dans notre fabrication comme moyen indirect de pression (tu bosses ou tu souffres),
Démocratie
Étant donné qu'une démocratie sociale sans partage des richesses n'a pas de sens,
Étant donné que dans une démocratie le peuple décide par le principe de majorité des voix, et ne peut donc décider de sa propre pauvreté pour le bénéfice exorbitant de quelques-uns,
Vérité
Étant donné que personne ne devrait avoir à « gagner » une existence contrainte (gagner sa vie) alors que l'humanité fait la promotion de l'humanisme, de la justice, de l'équité, et de la vérité,
Étant donné que pour améliorer le jugement des personnes dans une démocratie élective, toute vérité fondamentale doit être distribuée sans aucune considération des capacités mentales des personnes,
Étant donné que personne ne peut être juge de qui doit connaitre une vérité ou pas,
Mérite
Étant donné que c'est un fait de naitre garçon ou fille, et que naitre l'un ou l'autre n'est pas un mérite,
Étant donné que nous n'avons pas mérité nos défauts comme nos qualités, nos handicaps et nos dons,
Étant donné qu'il ne peut y avoir de mérité à naitre avec tel don ou telle imperfection, et qu'il ne peut donc y avoir de mérite à se comporter et à agir de telle ou telle manière, qu'il ne peut y avoir de mérite à être meilleur que l'autre dans un domaine ou un autre,
Étant donné que nous n'avons pas mérité nos capacités intellectuelles, que nous ne sommes pas responsables de nos imperfections physiques ainsi que de nos imperfections intellectuelles,
Étant donné que si nous n'avons pas mérité nos handicaps, nous n'avons pas plus mérité nos dons, et que nous ne pouvons mériter les gains que rapportent ces dons au détriment de ceux qui ont un handicap non désiré,
Étant donné que nous sommes tous des humains méritants puisque fabriqués pour être humain et donc mériter l'humanité et tous ses bénéfices,
Conclusion
Nous demandons que le partage des richesses qui sont un bien commun de l'humanité soit réalisé équitablement dans les plus brefs délais sans tenir compte des pseudo-mérites, qui n'ont aucun sens dans l'absolu puisque nous avons tous été contraints d'exister aléatoirement pourvus de qualités et défauts divers et variés, afin que chacun puisse vivre pleinement, car sinon il est inutile de nous contraindre à exister pour être un esclave souffrant et mortel, ce qui n'est pas une vision humaniste ; nous devrions être invités à exister et traité dignement en invité. Merci !
Pour le partage équitable des richesses (selon le principe défendu dans ce texte de contrainte d'existence et donc d'innocence d'exister) : OUI ou NON.
Fin